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Pièces et main d’œuvre : Manifeste des chimpanzés du futur

Manifeste des chimpanzés du futur

Contre le Transhumanisme
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Nouvelle édition 2023

Les transhumanistes se réunissent à Paris, les 20, 21 et 22 novembre prochains. « TransVision 2014 » rassemble les promoteurs internationaux du post-humain : Natasha Vita-More, Aubrey de Grey, James Hugues, Miroslav Radman, Laurent Alexandre, pour ne citer que les plus connus. L’événement est co-organisé par Technoprog, la branche française des transhumanistes, avec les associations Traces et fiXience, spécialisées dans l’acceptabilité des technosciences. On y retrouve les manipulateurs de « L’Arbre des connaissances », qui acclimatent les jeunes à leur futur augmenté dès le plus jeune âge, et dont le fondateur Ali Saib avait tenté d’organiser le Forum de la Biologie de synthèse au CNAM en avril 2013. [1]
Cette réunion de malfaiteurs de l’humanité est accueillie par l’Ecole supérieure de physique et de chimie industrielles de la Ville de Paris, présidée par Marie-Christine Lemardeley, adjointe à la maire de Paris.

« TransVision 2014 » marque la reconnaissance officielle du mouvement transhumaniste en France. Ce colloque s’accompagne d’un travail d’influence de longue date auprès des médias et des décideurs – offensive qui s’intensifie depuis quelques mois. Tribune hebdomadaire de Laurent Alexandre dans Le Monde ; émissions sur France Culture et France Inter ; dossiers dans Philosophie Magazine, L’Obs et Usbek & Rika ; enquête du Credoc auprès des Français « L’homme augmenté : l’opinion oscille entre désir et peur » ; interventions de transhumanistes dans des grandes écoles (ESSEC - Ecole de commerce de Paris, Ecole Centrale de Lyon), parmi les récentes manifestations de ce lobbying. Le transhumanisme n’est plus un projet furieux, mais une option à discuter. Ils ont remporté cette bataille. Il en reste bien d’autres.

Depuis douze ans, nous dénonçons à la fois les transhumanistes et les NBIC (Nanotechnologies, biotechnologies, informatique, sciences cognitives) qui sont les instruments de leurs ambitions et les secteurs où ils sont implantés. Aujourd’hui, Google a ses propres laboratoires (Google X), start up (Calico) et université (Singularity university) consacrés aux innovations transhumanistes.
Les anthropophobes nous appellent « bio-conservateurs » et en effet, nous voulons conserver notre humanité, contre ceux qui la haïssent trop pour se reconnaître encore membres de notre espèce.