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débats | Quilombo Boutique-Librairie

PROCHAINS DÉBATS

Le vendredi 13 septembre 2024 à 20h00

LE TEMPS DES RÉVOLTES : RENCONTRE AVEC ANNE STEINER

Anne Steiner présentera son livre Le Temps des révoltes. Une histoire en cartes postales des luttes sociales à la « Belle Époque » (Éditions L’échappée) à partir de 20h // dans la librairie (23 rue Voltaire, Paris XIe, m° Rue des boulets ou Nation).

À paraître le vendredi 6 septembre 2024

À la veille de la Première Guerre mondiale, les conflits sociaux se multiplient partout en France. Au-delà des revendications concrètes, il s’agit toujours de luttes pour la reconnaissance du travail et des savoir-faire, d’un combat pour la dignité. À l’âpreté de ces combats répond la brutalité de la répression. La troupe charge, mutile et tue, et les peines de prison pleuvent sur les manifestants et les syndicalistes.
Ces années de guerre sociale correspondent à l’âge d’or de la carte postale, dont la production explose entre 1900 et 1914. À une époque où les photographies de presse sont rares et de qualité médiocre, c’est sur ce support qu’ont été fixés les moments forts de ces révoltes urbaines ou rurales : cortèges, barricades, charges de dragons, machines sabotées, demeures patronales incendiées, mais aussi soupes communistes, fêtes et meetings.
Mettant en regard récits et images, ce livre nous plonge au cœur de ces événements et nous fait découvrir le métier et la vie des femmes et des hommes qui en furent les valeureux protagonistes.


Le vendredi 20 septembre 2024 à 09h00

LES RENCONTRES DE TECHNOLOGOS : LA TECHNIQUE DANS LA MONTÉE DE L'AUTORITARISME

Les rencontres de Technologos auront lieu cette année 2024 juste à côté de la librairie Quilombo ! // à partir de 9h // au CICP (21 ter rue Voltaire, Paris XIe, m° Rue des boulets ou Nation).

La technique
dans la montée de l’autoritarisme
Centre International de culture populaire
21 ter rue Voltaire - 75011

Accès rapide à : Présentation — Programme — Affiche — Moyens d’accès — Bibliographie
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Présentation

A l’heure où le projet de loi olympique autorise le recours aux algorithmes pour le contrôle des citoyens par la reconnaissance faciale et la vidéo-surveillance ; à l’heure où des vagues d’arrestations et de perquisitions ont récemment frappé des militantes et militants écologistes, pouvons-nous parler de « montée » de l’autoritarisme dans notre civilisation occidentale ? Le déferlement technique contemporain nous laisserait-il même envisager une victoire totale de l’autoritarisme, comme on peut envisager une victoire totale du capitalisme ?

Ces événements s’inscrivent dans une longue histoire. Pour Lewis Mumford, l’organisation centralisée, incarnation du processus de rationalisation, serait la première « technique » en cause. Il a nommé « Machine » cette domination physique, organisée sous la férule d’un roi, d’un empereur tout puissant (« le centre »), dans laquelle l’homme n’est plus qu’un rouage. A partir de la révolution industrielle, le « centre » sera de plus en plus intégré au système comprenant l’élite technocratique, scientifique, le système normatif, bureaucratique, l’organisation du travail, l’automatisation, mais aussi chaque membre de la communauté qui y prendra part, à qui il sera promis les retombées bénéfiques du système.

L’autoritarisme aujourd’hui qui s’impose à nous dans tous les pans de nos vies, semble ne nous laisser aucun choix. Il agit par la répression sur les groupes dont les solidarités et les liens, menaces pour le système doivent disparaître, ou plus insidieusement en suscitant l’adhésion, sans coercition, par diverses techniques de propagande, de fabrique de consentement, par le primat de l’expertise, de la technocratie et des normes sur les valeurs humaines, par les injonctions à nous adapter. Il s’agit d’une organisation à grande échelle à même de gérer et contrôler des masses tout en nous donnant l’illusion de la liberté individuelle : nous sommes tous libres... d’obéir (1).

Le cas de l’ « intelligence » artificielle (IA) est particulièrement inquiétant à cet égard. La « Machine » exerce un contrôle sur les fondements de ce qui nous rend humains (la créativité, l’effort, le langage, la sensibilité, la socialisation) et contribue à brouiller les repères entre réalité et monde virtuel, entre vérité et mensonge. Les algorithmes sont des exécutants sans « états d’âme ».

L’IA constitue donc un des outils privilégié de consolidation des pouvoirs autoritaires : l’automatisation de la prise décision, de l’application des procédures, des interactions avec les administrations est désormais systématisée. Privés de toute capacité d’initiative et de négociation, il ne reste aux citoyens qu’à docilement obtempérer !

Aujourd’hui c’est bien dans tous les domaines de notre vie que la technique permet au pouvoir en place de se consolider : la santé et le poids croissant des techniques de management et des outils techniques ; l’agriculture et la disparition du paysan au profit de l’entrepreneur agricole assisté par ordinateur et bientôt par drone ; l’enseignement où les professeurs sont de plus en plus contraints et contrôlés par le numérique.

Au vu des tendances lourdes à l’oeuvre, pouvons-nous aujourd’hui craindre une victoire totale de l’autoritarisme par la technique, menant à l’obsolescence de l’homme ? Nous préférons quant à nous défendre les techniques démocratiques « dirigées par l’homme, relativement faibles, mais ingénieuses et durables ».

« Il faut transmettre l’autorité, actuellement aux mains de la machine collective, à la personnalité humaine et au groupe autonome » (2)

(1) Voir « Libres d’obéir », Johann Chapoutot, Gallimard, 2020

(2) « Technique autoritaire et technique démocratique », Lewis Mumford, 1963

PROGRAMME

Vendredi 9h-18h

Accueil
Techniques et formes sociales d’après Lewis Mumford - Annie Gouilleux
Généalogie de l’autoritarisme technicien - François Jarrige
La technocratie, classe de puissance à l’ère technologique - PMO
E. Bernays et technique de propagande - Olivier Leduc
Le rôle de la numérisation du monde dans les formes contemporaines d’autoritarisme - Matthieu Amiech
Les robots-tueurs et déshumanisation digitale - Anne-Sophie Simpere

Journée entrecoupée de pauses et de périodes de questions-débats

Samedi matin 9h-12h

Accueil
Régir un Etat Nucléaire : perspectives depuis la campagne meusienne - un opposant au projet d’enfouissement de Bure
Comment mettre fin à l’autoritarisme techno-industriel ? - ATR
Débat et Conclusion

Les horaires détaillés seront communiqués ultérieurement.

Contact et informations : rencontres@technologos.fr

Rencontres de Technologos 2024

Le mardi 24 septembre 2024 à 20h00

LA CLEF DES SONGES D'ALEXANDRE GROTHENDIECK : RENCONTRE AVEC LAURENT LAFFORGUE

Laurent Lafforgue, postfacier du livre, présentera La Clef des Songes ou Dialogues avec le Bon Dieu d’Alexandre Grothendieck (Éditions du Sandre) à partir de 20h // dans la librairie (23 rue Voltaire, Paris XIe, m° Rue des boulets ou Nation).

Postface de Laurent Lafforgue.

À paraître le 30 août 2024

Rédigées en 1987-88, tandis que Grothendieck vient de refuser le prix Crafoord et qu’il est sur le point de prendre sa retraite de l’Université, ces pages sont longtemps restées inaccessibles, dans les archives familiales. La Clé des Songes, qui paraît deux ans après Récoltes et Semailles (Gallimard), son « témoignage sur un passé de mathématicien », en est le pendant existentiel.
Si ce sont essentiellement les questions spirituelles qui ont préoccupées Grothendieck les quelque derniers vingt ans de sa vie, les réflexions qu’aborde La Clé des Songes s’appuient sur son expérience mathématique. Œuvre-somme qui atteste du cheminement spirituel d’un homme que la communauté scientifique considère comme un penseur pionnier et décisif, ce texte lumineux rend compte, de manière ordonnée et rigoureuse, d’événements biographiques – notamment son enfance et la période passée dans un camp d’internement français pendant la Seconde Guerre mondiale –, de ses investigations sur le rêve, comme point de départ de sa rencontre avec Dieu, mais aussi de réflexions philosophiques sur l’imaginaire, la liberté, la création, le silence et l’écoute…

Le texte est suivi d’une postface de Laurent Lafforgue, mathématicien membre de l’Académie des sciences, portant sur la notion de vérité chez Grothendieck.

Né apatride, issu d’une lignée d’anarchistes russes, médaillé Fields en 1966 et considéré par nombre de ses pairs comme le plus grand mathématicien du XXe siècle, Alexandre Grothendieck (1928-2014) fut maître de recherches au CNRS dans les années 50, spécialisé dans le domaine de la géométrie algébrique. Il intègre ensuite le groupe Bourbaki puis se lie aux mouvements écologistes naissants, s’investissant particulièrement dans la lutte antinucléaire. Il se retira dans les années 1990, préoccupé de questions spirituelles, refusant les honneurs. Il laisse à sa mort quelque 85 000 pages parmi lesquelles La Clé des songes, resté jusque-là inédit.

Né en 1966, Laurent Lafforgue est mathématicien. Médaillé Fields en 2002, il est membre de l’Académie des sciences depuis 2003.


Le mardi 8 octobre 2024 à 20h00

BARBARIE NUMÉRIQUE : RENCONTRE AVEC FABIEN LEBRUN ET SURVIE PARIS

En partenariat avec Survie Paris, Fabien Lebrun présentera son livre Barbarie numérique. Une autre histoire du monde connecté (Éditions L’échappée) à partir de 20h // dans la librairie (23 rue Voltaire, Paris XIe, m° Rue des boulets ou Nation).

Avant-propos de Denis Mukwege

Préface d’Alain Deneault

Une enquête implacable sur la tragédie que vit le Congo, cœur des industries numériques et objet de toutes les convoitises.

À partir des années 1990, l’explosion de la production de biens électroniques, caractéristique du passage du capitalisme à son stade numérique, déclenche une guerre des métaux technologiques au Congo (RDC) qui n’a fait que gagner en intensité. Cette enquête fouillée montre que la dématérialisation est bel et bien un mythe. Elle se nourrit d’un extractivisme sans limites dans des régions, comme celle des Grands Lacs en Afrique, qui subissent depuis des siècles les ravages de la mondialisation : de la traite négrière à la terreur coloniale du roi belge Léopold II (pour le « caoutchouc rouge » nécessaire à l’industrie automobile) jusqu’aux minerais de sang actuels dont le coltan essentiel aux smartphones et le cobalt pour la transition énergétique.
La civilisation de l’écran est synonyme d’une barbarie numérique qui se manifeste au Congo par : une économie militarisée et une criminalité institutionnalisée, un pillage généralisé, du travail forcé, le viol comme arme de guerre, la destruction des forêts et l’anéantissement de la biodiversité… Autant de catastrophes qui font du Congo l’une des plus grandes tragédies de l’histoire contemporaine, le prix fort à payer pour un monde connecté.


Le vendredi 18 octobre 2024 à 20h00

PEUT-ON S'OPPOSER À L'INFORMATISATION DE NOS VIES : RENCONTRE AVEC MATTHIEU AMIECH

Matthieu Amiech présentera son livre Peut-on s’opposer à l’uniformisation de nos vies ? (Éditions La Lenteur) à partir de 20h // dans la librairie (23 rue Voltaire, Paris XIe, m° Rue des boulets ou Nation).

À paraître le 6 septembre 2024

En quoi la société des humains a-t-elle été bouleversée par Internet en vingt-cinq ans ? Pourquoi la portée politique et l’impact écologique de cette numérisation galopante ont-ils été largement sous-estimés ? Quelle organisation sociale est en train d’advenir sous nos yeux et nos pouces ? Voilà les questions abordées dans ce livre qui regroupe des interviews de M. Amiech à propos de La Liberté dans le coma (Groupe Marcuse), et d’autres interventions publiques de l’auteur au fil des dix dernières années. Il en ressort qu’il ne peut y avoir aujourd’hui de défense du vivant, de la liberté et de la justice sociale sans une opposition politique à l’informatisation du monde.


Le vendredi 8 novembre 2024 à 20h00

LES ÉTOILES NOIRES - JOYCE LUSSU

Les Étoiles Noires, ça continue en cette fin d’année ! Et celle-ci sera consacrée à Joyce Lussu (1912-1988), une figure importante de la résistance au fascisme italien, que l’on découvre grâce à la traduction inédite de son livre L’homme qui voulait naître femme. Mémoires féministes de la guerre (Éd. La Lenteur) - Discussion à partir 20h avec Chloé Pierre, traductrice du livre et Concert en cours d’organisation... à 21h // dans la librairie (23 rue Voltaire, Paris XIe, m° Rue des boulets ou Nation).

À paraître le 8 novembre 2024

Joyce Lussu (1912-1988) est une figure importante de la résistance au fascisme italien, dont les écrits politiques ne sont pas encore traduits. Ce livre est un essai autobiographique où elle évoque ses souvenirs d’adolescente pendant l’entre-deux guerres mondiales, sa participation à la guerre contre fascistes et nazis dans les années 1940, aussi bien que son parcours de femme engagée dans les années de paix européenne et de décolonisation des pays du Sud. Elle y interpelle les mouvements féministes sur un point crucial à ses yeux : les femmes peuvent-elle atteindre l’égalité et peser en faveur de la paix, si elles ne s’impliquent pas à l’égal des hommes lorsqu’un conflit armé éclate ?


Le jeudi 21 novembre 2024 à 20h00

LOUBOK. IMAGERIE POPULAIRE RUSSE : RENCONTRE AVEC LAETITIA BIANCHI

Laetitia Bianchi présentera Loubok. Imagerie populaire russe (Éditions Mexico) à partir de 20h // dans la librairie (23 rue Voltaire, Paris XIe, m° Rue des boulets ou Nation).

À paraître le 8 novembre 2024

« Loubok » est le nom donné aux images populaires en Russie, des pages à deux sous, vendues par des colporteurs et diffusées à grande échelle. Des souris enterrent le chat, l’ours joue de la balalaïka, les poissons organisent un procès pour savoir à qui appartient le lac, le diable se fait berner. Ces images sont remarquables par la manière dont leurs couleurs vives sont apposées à la main. Elles ont été une source d’inspiration des peintres avant-gardistes du début du XXe siècle : Chagall, Kandinsky, Larionov... Après le livre sur Posada (imagerie populaire au Mexique) et à Garson (en France), les éditions Mexico poursuivent, avec Loubok, leur panorama de l’estampe populaire au XIXe siècle.


Le samedi 14 décembre 2024 à 19h30

LES ÉTOILES NOIRES - HANNAH ARENDT

Pour clore le cycle des Étoiles Noires en 2024, nous mettrons en avant Hannah Arendt à l’occasion de la parution de Parias. Hannah Arendt et la « tribu » en France (1933-1941) (Éditions L’échappée) - Discussion à partir 19h30 avec Marina Touilliez et Concert en cours de programmation à 21h // dans la librairie (23 rue Voltaire, Paris XIe, m° Rue des boulets ou Nation).

Préface de Martine Leibovici

Voici le récit palpitant des huit années françaises de Hannah Arendt qui marqueront profondément sa vie et son œuvre.

Fuyant la Gestapo, Hannah Arendt arrive à Paris en octobre 1933. La jeune femme de 27 ans, promise à une brillante carrière universitaire en Allemagne, doit se faire aux chambres insalubres des hôtels garnis, à la difficulté de trouver du travail, et à l’hostilité d’une partie des Français.
Mais dans le quartier latin et à Montparnasse, ceux qui ont fui Hitler parviennent à faire vivre un autre pays en exil. Elle y croise Heinrich Blücher, faux dandy et vrai révolutionnaire, qui deviendra son mari. Tous deux font partie d’une famille d’hurluberlus magnifiques – composée, entre autres, de Erich Cohn-Bendit, Lotte Sempell, Chanan Klenbort, Adrienne Monnier, Fritz Fränkel, Minna Flake et Arthur Koestler – qui se retrouve autour du génial Walter Benjamin. Ils forment cette « tribu » qui donne à chacun la force de continuer à vivre.
À l’approche de la guerre, et face à l’afflux de réfugiés, l’administration française interne les « indésirables » et les amis sont l’un après l’autre enfermés. Pendant six semaines, Arendt connaît « l’enfer du camp de Gurs », et frôle le désespoir. Lorsque les armées nazies envahissent la France, elle profite du chaos pour fuir le camp…
Fruit d’une enquête minutieuse, réalisée notamment à partir d’archives et de témoignages inédits, voici le récit palpitant des huit années françaises de Hannah Arendt qui marqueront profondément sa vie et son œuvre.


Les débats déjà organisés par Quilombo
Le mardi 18 juin 2024 à 20h00

LES ÉTOILES NOIRES - MARKOS VAMVAKARIS

Les Étoiles Noires, ça continue en ce printemps 2024 ! La dernière du premier semestre sera consacrée à Markos Vamvakaris, musicien de rébétiko, que l’on découvre en ce mois grâce à la traduction inédite de son livre Moi, Markos (Éd. Les Fondeurs de briques) - Discussion à partir 20h avec l’éditeur Jean-François Bourdic et Concert de rébétiko avec Antonis Nasis et Kostas Papaloukas à 21h // dans la librairie (23 rue Voltaire, Paris XIe, m° Rue des boulets ou Nation).


Le vendredi 7 juin 2024 à 20h00

L’Oiseau rouge de Zitkála-Šá : rencontre avec Zoé Monti-Makouvia, Flora Boffy-Prache, Marie Chuvin et Céline Planchou

En partenariat avec le CSIA, Zoé Monti-Makouvia et Flora Boffy-Prache, éditrices des Prouesses, Marie Chuvin, traductrice et Céline Planchou, préfacière du livre, viendront présenter L’Oiseau rouge. Mémoires d’une femme dakota de Zitkála-Šá (Éditions Les Prouesses) à partir de 20h // dans la librairie (23 rue Voltaire, Paris XIe, m° Rue des boulets ou Nation).


Le mercredi 29 mai 2024 à 20h00

LES ÉTOILES NOIRES - LILI GRÜN

Les Étoiles Noires, ça continue en ce printemps 2024 ! Et celle-ci sera consacrée à Lili Grün, écrivaine et actrice autrichienne, que l’on découvre en ce mois grâce à la traduction inédite de son livre Tout est jazz ! (Éd. du Typhon) - Discussion à partir 20h avec Yves et Florian Torres éditeurs du Typhon et Concert du Duo Bacarêve, formé d’Adrien Leconte à la batterie et de Wilfried Touati à l’accordéon à 21h // dans la librairie (23 rue Voltaire, Paris XIe, m° Rue des boulets ou Nation).


Le vendredi 17 mai 2024 à 17h00

Le Jour d’avant : dédicace et rencontre avec Simon Géliot et Romain Dutter

Romain Dutter et Simon Géliot dédicaceront leur bande dessinée Le Jour d’avant (Éditions Steinkis) à partir de 17h, et présenteront leur travail à partir de 20h. La soirée sera suivi d’une petite fête ! // Librairie Quilombo (23 rue Voltaire Paris XIe, m° Rue des Boulets ou Nation).