Jean Seberg, le 11 septembre 73 à Santiago, Debord et les Tupamaros, qui d’autre qu’Angel de la Calle, l’auteur d’un "Tina Modotti", célébré sous toutes les latitudes, pouvait nous conter ce qu’ils eurent de commun ou auraient pu avoir... A la façon du Cortazar de "Rayuela" ("Marelle") l’auteur nous offre un roman graphique déconcertant, sa mémoire des vaincus de la "Guerre froide" culturelle que l’Empire étasunien mena aux avantgardes sudaméricaines dans les seventies.