Marseille mais aussi Lisbonne ou Tanger, si Noailles et Belzunce en étaient des quartiers, les bouges et l’errance. Le désir à l’étroit, un entêtant parfum d’Orient. Un chant d’amour aux couleurs de la nuit.
Imaginez Goya et Istrati ou Grosz et Cavafis qui s’emparent du 9ème art. Si ça devait porter un nom, nul doute que ce serait Kamel Khelif.