Un conte d’un érotisme frénétique et surréaliste, où perroquets, montres et miroirs jouissent à-qui-mieux-mieux et où « la tour Eiffel étonnée se cache dans le cul du Trocadéro ».
Saisi par la police avant sa première parution en 1928 et à nouveau interdit quarante ans plus tard, sous le régime gaullien (plus prude que ne pourrait le laisser penser son nom), malgré un titre astucieusement modifié en Rouilles encagées par Eric Losfeld.
Avec sept illustrations d’Yves Tanguy.