Pendant deux ans l’auteur a été élève au Centre de formation des journalistes. Il s’est coulé dans le moule pour voir, et il a vu. Comme dans un miroir grossissant, le journalisme ordinaire se révèle alors sans fard : la célébration du vide, le mépris du public, la soumission aux pouvoirs, la quête du profit, l’information prémâchée comme seul horizon...