Créée en 1938, le camps de Rivesaltes a d’abord « hébergé » des exilés espagnols, puis des tziganes et des juifs, ensuite des prisonniers allemands, enfin des harkis. Pourtant l’auteur s’attache surtout aux années 1941-1942 : C’est à l’age adulte qu’il découvre fortuitement les lieux et cette vérité. Ainsi, il nous donne à partager sa quête intime d’une mémoire difficile à appréhender.