L’auteur nous montre l’incompréhension qui règne entre les populations autochtones et les Tsiganes. Depuis 1848 perdure une attitude anxiogène permanente des peuples et des élites face à la libre circulation des Tsiganes : la stagnation de leur « statut » n’a d’égal que le mépris qu’on leur porte depuis leur arrivée en Europe au Moyen âge.