Le « progrès technique » n’est-il pas une illusion qui nous empêcherait de voir la pluralité des lendemains possibles, et donc nous priverait de la possibilité même de choisir ? Il faut briser la porte de la prison imaginaire dans laquelle nous nous sommes enfermés, comprendre que le progressisme technologique est devenu la figure centrale du nihilisme contemporain.