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Collectif : Le Militantisme, stade suprême de l’aliénation

Le Militantisme, stade suprême de l’aliénation

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Si la critique et la condamnation du militantisme est une tâche indispensable pour la théorie révolutionnaire, elle ne peut être faite que du « point de vue » de la révolution. Les idéologues bourgeois peuvent traiter les militants de voyous dangereux, d’idéalistes manipulés, leur conseiller d’occuper leur temps à travailler ou à le passer au Club-Méditerranée ; ils ne peuvent pas s’attaquer au militantisme en profondeur car cela revient à mettre en lumière la misère de toutes les activités que permet la société moderne. Nous ne cachons pas notre parti pris, notre critique ne sera pas « objective et valable de tous les points de vue ».
Le Militantisme, stade suprême de l’aliénation (1972).

En coédition avec les éditions Parrhèsia.

Textes présentés et annotés par Claude Guillon.