Alger, années 40. Dans le quartier populaire de la Casbah, ragots et médisances règnent en maître. Au cœur des rumeurs, une femme mystérieuse et effrontée qui parle français et collectionne les parapluies. Au fil de ses déambulations, ce sont les histoires des autres femmes du quartier que l’on découvre... celle de Fatma El Hocine, de Fatma N’Ramdan, de Fatma N’Ahmed... Car ici, les femmes portent toutes le même prénom...
À travers le personnage de Fatma, ce sont les mécanismes sociaux à l’œuvre en Algérie, et l’omniprésence du contrôle social, qui sont mis en lumière par Benamar et Ouarezki (tous deux co-scénaristes).