Dans ce livre, personne ne semble avoir la moindre honte à dévoiler ce qui fut bien souvent un mode de vie extrême, disons rock’n’roll, moins centré sur l’image que le punk anglais et dédié avant tout à une certaine forme d’innocence paradoxale, refusant aussi bien les idéaux peace and love éculés des années 60 que la culture de l’argent roi des années 80.