« … Vos souffrances sont cruelles, certes, mon cher Paul, mais la cause pour laquelle vous souffrez est si belle qu’elle embellit tout.
Bouter l’ennemi hors de France : voilà la seule chose qui compte et je m’étonne un peu du ton de ta dernière lettre.
Je prie chaque jour pour nos armées et aussi pour toi, mon cher mari. Vive notre Patrie et que pour elle tous se montrent des héros dignes de nos aïeux !
PS : L. M. a déjà la croix de guerre. »