En 1977, l’Italie est en pleine ébullition : " Il y avait alors un mouvement fait de femmes et d’hommes qui pensaient changer le monde.
De manière radicale. Ces femmes et ces hommes pensaient que le changer pouvait aussi être marrant. Je me revois jeune et je pense : on nous l’a fait payer cher, mais qu’est-ce qu’on s’est marrés. A notre époque où règne un individualisme triomphant, il devient difficile d’imaginer, pour celles et ceux qui ne l’ont pas vécu, la richesse passionnelle, intellectuelle, imaginaire et émotive de ce mouvement.
C’est ce que Paolo Pozzi nous transmet magnifiquement et simplement avec ce témoignage.