A 18 ans, l’auteur tue un skin. Il allait être condamné à 10 ans de réclusion. Pour lui, cette condamnation reste aussi injuste que sa séropositivité révélée en prison. Depuis sa vie s’est pratiquement déroulée entièrement en détention, ponctuée d’humiliations, de violences subies et commises, d’évasions, de révoltes, de récidives, de cours d’assises...