Penser le travail de la mort au sein du vivant, c’est prendre conscience du travail de déliaison, de désenchevêtrement, de décomposition qui vise uniquement à extraire le rendement maximal de la terre et des organismes exploités. Une des "leçons" à tirer de la sagesse des lianes serait donc l’impératif vital de s’enlianer (malgré l’injonction continuelle du "sans contact"), de composer des alliances, d’entrelacer nos puissances pour réinventer des refuges, pour semer la possibilité de refuges : de lieux caractérisés par la pluralité des formes de vies entrelacées (humaines et non humaines).