"Décarbonation de l’économie", "énergies renouvelables", "transition écologique", le discours des principales associations, ONG et personnalités du "mouvement climat", de Cyril Dion à Bon Pote, rejoint en grande partie celui des entreprises et des États, de plus en plus nombreux à promettre d’atteindre la "neutralité carbone" d’ici 2030 ou 2050.
Dans les faits, le désastre écologique continue imperturbablement, et est même aggravé par l’extractivisme nécessaire au développement des énergies dites "renouvelables" et des technologies dites "propres" ou "vertes" en général. Comment en sommes-nous arrivés là ? Et comment retrouver un mouvement écologiste digne de ce nom ?