Ce quatrième volume de la série « Théorie critique de la crise » est consacré à l’analyse de l’actualité crépusculaire qui s’incarne violemment dans le sort réservé à la masse toujours plus importante des vies indésirables, superflues que le capitalisme génère. Qu’ils soient Roms, exilés (de force), chômeurs, précaires, etc., la liste des dominés et des exclus ne cesse de s’allonger à mesure que s’impose un monde qui ne cesse de mutiler la vie, les corps, les existences…