Nous pouvons redevenir des habitants de cette Terre, pris dans les rets de notre incommensurable cohabitation avec d’autres êtres. Singulariser les communautés des êtres du vivant que nous sommes,ce n’est rien d’autre que fragmenter le monde. Contre le cauchemar de l’utopie capitaliste qui prétend intégrer tout être, toute chose dans le monde global de sa décomposition : se désintégrer : A nouveau des manières de faire exister notre expérience. Ou des lignes multiples de partage pour instaurer la différence. Retrouver des voies d’une politique inséparable de sa localisation. Il n’y a pas de monde commun qui préexiste à l’expérience que l’on en fait. Il n’y a que des formes de communisation qui rendent le monde ingouvernable.