Artiste pour le moins secret mais authentique révélation, Guillaume Chailleux se découvre depuis quelques années comme collaborateur régulier de la revue critique et théorique Pré Carré.
Contrepoint à l’entreprise critique des principales théories sémiologiques du genre engagée par Jean-François Savang, sa série de planches en quatre cases y explore les possibles poétiques d’un gaufrier réduit à son plus simple appareil.
Construit autour de ces haïkus dessinés et d’une seconde série de travaux muets en trois planches se présentant comme autant d’approches du faux-semblant narratif, Fils alterne ces deux dispositifs de tableaux fragmentés en un recueil de formes poétiques.