Nous volons vers une croissance infinie dans un monde infini. Bien sûr, ce ne sera possible qu’à l’infime élite d’homo superus qui aura pu quitter la Terre. Un million peut-être, pour quelques milliards de culs-terreux embourbés au sol natal, qui déclineront avant de s’éteindre. Mais ceux-là seront les garants de l’expansion de l’espèce et de la poursuite de son épopée sidérale. Les forts tuent, les faibles meurent : das ist.