La mobilisation du printemps 2006 a témoigné du rejet massif de la précarité. Médias et responsables politiques continuent de répéter que la flexibilisation du marché du travail est indispensable. Pourquoi les salariés devraient-ils encore et toujours « s’adapter » à un régime capitaliste que les autorités politiques renoncent à réguler ?