L’auteur ne se contente pas de fustiger l’admi-nistration, il critique aussi l’idéologie médicale. Il refuse de se couler dans le discours des syndicats hospitaliers et rejette également le projet néolibéral qui voudrait gérer l’hôpital comme une entreprise. Il avance des pistes sans renier l’exigence d’excellence médicale et de mission sociale de l’hôpital public.