La crise mondiale, Joseph E Stiglitz, prix Nobel d’économie, l’avait annoncée.
Aujourd’hui il démontre qu’elle est au système néolibéral ce que la chute du mur de Berlin, en 1989, fut à l’économie soviétique. Il ne s’agit donc pas d’y répondre dans le cadre exigu de nos références mais de faire un pas de côté et de la considérer globalement, jusqu’à la remise en cause des fondations qui l’ont rendue possible. Un document d’une importance majeure, par l’auteur de La Grande Désillusion et de Quand le capitalisme perd la tête.