À la question de savoir pourquoi nous nous sentons si impuissants face aux assauts répétés du capitalisme mondialisé, les auteurs de cet essai halluciné répondent en invoquant, preuves à l’appui, l’influence de dieux d’un genre nouveau, dont les agents du grand capital se seraient secrètement attiré les faveurs.
Dans ces conditions, on ne peut s’en prendre au capitalisme, et espérer remporter contre lui quelque forme de victoire, qu’à la condition de se battre sur le terrain qui est le sien, c’est-à-dire qu’à la condition de rejoindre le théâtre d’opérations de cette guerre qu’il mène en silence, et qui est le terrain de la religion, le terrain des dieux.