Le populisme a conquis, dans le milieu des années 1980, une place prédominante dans les commentaires politiques pour désigner des phénomènes qui, à l’instar du FN, étaient jusqu’alors pensés comme relevant de l’extrême droite. Des analyses mal fondées dénient une fois de plus ce qu’est la réalité sociale et morale des comportements politiques des groupes populaires.