« D’autres ouvriers auraient pu écrire cette chronique de la chaîne à Peugeot-Sochaux, que j’ai signée du pseudonyme de Marcel Durand pour ne pas m’approprier cette mémoire collective. » La singularité de ce texte tient à ce qu’il nous fait entendre la voix d’un « ouvrier ordinaire » qui n’a pas de légitimité particulière pour prendre la parole.