C’est à partir de 1974 que j’ai commencé à me passionner pour l’agitation situationniste.
De 1982 à sa mort en 1994, Guy Debord a vécu avec moi, sans jamais m’avoir rencontré. C’est lui qui m’a appris que le pouvoir n’était pas au bout du fusil et que la peinture était au bout du rouleau. Depuis, mes positions sur ces thèmes ont beaucoup évolué ; sauf celles de la peinture, bien sûr...