Mercredi 21 juin 2017. Il est 12h30. Eric Louis est d’après-midi sur le site industriel de Cristanol à Bazan-court. Avec les autres cordistes, ils attendent pour relever l’équipe du matin dont fait partie Quentin. La chaleur, les silos métalliques, la fatigue... et cette phrase, simple et définitive, comme une sentence brute, qui vient nous claquer à la face : "On a perdu Quentin".