Tristan, étudiant sans motivation ni conviction politique, est surtout occupé à échapper à la voie toute tracée qui, selon lui, le mène à une résidence avec Digicode ou pire, un pavillon cerné d’une haie.
Arrivé par hasard au Samovar, un squat historique, il découvre la possibilité de vivre pleinement, sans temps morts ni compromis, à travers le collectif. Ce qui était une joyeuse échappatoire devient rapidement sa raison d’être, et le combat du Samovar face à un pouvoir qui ne tolère plus aucune parcelle de liberté, son propre combat.
Du bouleversement radical de son monde naît l’envie de raconter « ce qui s’est passé dans ma vie de squatteur en un an sans fioritures ni rien ».