La Cavale nous entraîne entre le faste du cabaret, le swing manouche et la malédiction tzigane. Accompagnée d’accordéon, de violon, de clarinette, de contrebasse et de guitare, la Cavale chante l’exil et l’inconscience ; le voyage et le doute ; l’urgence de dériver, la poésie pour seule boussole.
« Au travers de la voix de Marina, on ne peut ressentir que du positif et ce sont la douceur, la poésie, la bohème et l’amour qui sont naturellement transmis. Les différentes mélodies sont si aériennes qu’on s’envole avec le quintet parisien dans un état d’esprit à la fois léger et festif. Au final, la Cavale, c’est tout simplement le choix de la liberté. » (Nicolas Claude, FrancoFans)