Barack Obama avait déclenché un grand élan d’espoir aux Etats-Unis et à l’étranger, renouant avec le rêve américain, entre Kennedy (la jeunesse et le charme) et Luther King (la peau noire et le talent d’orateur). A peine élu, il recevait le prix Nobel de la Paix. Quatre ans après la vague d’Obamania, c’est la désillusion. Le prix Nobel de la Paix a renforcé la guerre en Afghanistan. L’homme de gauche a pactisé avec Wall Street.
Sa réforme de la santé était un simple replâtrage.