L’auteure commence par étudier l’apparition du racisme biologique au XIXe siècle. Elle montre à quel point la catégorisation des dominé-e-s participe à, ou plutôt fonde, l’oppression. Étudiant la presse pendant la guerre d’Algérie, elle démonte en finesse les mécanismes qui fondent le discours raciste, faisant toujours référence à une norme implicite.