Dès le milieu du XXe siècle, la santé devient l’objet de réseaux institutionnels investissant les modes de vie de chacun. Cette grande cybernétique sociale, Deleuze l’appelle la « société de contrôle ». Or, ce n’est pas le respect de l’organisme ou les droits du sujet qui sont capables de nous libérer de ce contrôle.