L’anarchisme accompagne "la formation du mouvement ouvrier avec une critique de l’oppression et une manière de s’organiser face à l’exploitation économique des travailleurs." Dans cet ouvrage introductif, une place importante est donnée aux pensées de Proudhon, Bakounine, Kropotkine, Bookchin et Graeber, notamment. Tous pensent que "Le capitalisme vole les travailleurs et fait d’eux des esclaves salariés. La loi encourage et protège ce vol. (...) Toute liberté humaine, qui ne soit pas un privilège, exige, nécessite, l’égalité. Pour les libertaires, l’égalité est l’égalité de fait, le nivellement des rangs et des fortunes."