« La Fourmi est en colère. C’est l’été et ses coffres sont vides, vides, vides. Il fait trop sec, trop chaud. Pas moyen de trouver le moindre grain, d’attraper le plus petit vermisseau. »
Antonin Sabot revisite la fameuse fable pour la rendre plus compatible avec la réalité naturaliste et plus impertinente.