Sur une plage d’Alger Meursault a tué un homme. Un arabe. À cause du soleil, dira-t-il, parce qu’il faisait chaud. On n’en tirera rien d’autre. Rien ne le fera plus réagir. Comme si, sur cette plage, il avait soudain eu la conscience de n’être sur la terre qu’en sursis, sans aucun espoir de salut. Une adaptation
graphique époustouflante de l’oeuvre de Camus.