C’est pour vous, Blaise Cendrars, que j’ai écrit ces lignes, parce que je savais que vous comprendriez. Vous qui avez vu tant de choses, tant de pays, tant de monde, vous qui aussi avez connu les Indiens, vous qui n’avez peur ni de dieu ni du diable, ni de la vie ni de la mort. Il n’y a rien, dans l’univers, de merveilleux. Il n’y a rien de caché. Le monde est un grand livre ouvert.