De là à ce que, quand d’aventure la vieillesse s’invite au bal de la vie, la fanfare des maîtres du monde du moment nous joue sur tous les tons l’air de la décrépitude, de la solitude, de la déchéance, de la dépendance et de la crevaison, il y a cependant une marge. Car il y a manière et manière (sociale et sociétaire) de vieillir, de voir ses forces et son autonomie décroître, et de finir sa vie.